Elle est devenue un exemple pour beaucoup, montrant que la force d’esprit et la capacité à s’adapter peuvent jouer un rôle décisif dans la lutte contre la maladie.
Le biographe royal Robert Hardman, dans son dernier livre « Charles III : Nouveau roi. Nouvelle cour. Histoire intérieure », décrit ce qui a aidé la princesse Catherine de Galles à se rétablir.
Selon l’auteur, Kate a trouvé la foi et a commencé à s’intéresser davantage à tout ce qui s’y rattache après que son cancer a été diagnostiqué et qu’elle a suivi un traitement de chimiothérapie. Pendant cette période difficile, la princesse a trouvé du soutien auprès de sa famille et de ses proches, ainsi que dans sa profonde croyance en un avenir positif.
Catherine s’est activement engagée dans des activités physiques, ce qui l’a aidée à renforcer son corps et son esprit. Elle a intégré le yoga et la méditation dans sa routine, ce qui a non seulement amélioré sa condition physique, mais aussi contribué à réduire son stress et son anxiété. De plus, elle s’est intéressée à une alimentation saine, se concentrant sur la consommation de produits naturels riches en vitamines et antioxydants qui ont favorisé son rétablissement.
Cependant, son mari, le prince William, est décrit par ceux qui le connaissent bien comme « un jeune homme moderne ». Il « se sent mal à l’aise avec certains aspects des cérémonies et de la religion », d’après un extrait publié dans le Daily Mail et cité par le magazine People. Si le père de William, le roi Charles, et sa défunte grand-mère, la reine Elizabeth II, sont connus pour leurs fortes convictions chrétiennes, le prince de Galles, âgé de 42 ans, pourrait rompre avec la tradition et décider de ne pas prendre le titre de Chef suprême de l’Église anglicane lorsqu’il montera sur le trône.
« Dans les cercles royaux, il n’est pas un secret qu’il ne partage pas les sentiments spirituels du roi, sans parler de la dévotion inébranlable de la défunte reine à l’Église anglicane, écrit Hardman. Son père est très spirituel et aime parler de foi, tandis que le prince n’a pas cette inclination. Il ne va pas à l’église chaque dimanche, comme la majorité de la population. Il y va peut-être à Noël et à Pâques, mais c’est tout. » Cela a été confié à Hardman par un haut représentant du palais.
L’auteur explique que le prince William respecte profondément les institutions, mais qu’il ne se sent pas instinctivement à l’aise dans un environnement religieux.
Il est important de noter que le soutien de ses proches, un mode de vie actif et une approche positive de la santé ont été des facteurs clés dans le rétablissement de la princesse Catherine. Elle est devenue un exemple pour beaucoup, montrant que la force d’esprit et la capacité à s’adapter peuvent jouer un rôle décisif dans la lutte contre la maladie.
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