Kylie Jenner à l’envers : comment Dazed réinvente le glamour à sa façon

Kylie surprend encore. Sur la couverture de Dazed de juin 2025, elle est allongée sur le sol. Oui, littéralement. En body duveteux signé Acne Studios, talons pointus aux pieds, et un regard qu’on pourrait citer comme une punchline. Ce n’est pas juste un shooting photo — c’est un manifeste. Le glamour s’est inversé. Et il est devenu bien plus intéressant.

Kylie surprend encore. Sur la couverture de Dazed de juin 2025, elle est allongée sur le sol. Oui, littéralement. En body duveteux signé Acne Studios, talons pointus aux pieds, et un regard qu’on pourrait citer comme une punchline. Ce n’est pas juste un shooting photo — c’est un manifeste. Le glamour s’est inversé. Et il est devenu bien plus intéressant.

On connaît Kylie comme un empire : Kylie Cosmetics, KHY, des millions d’abonnés, des milliers de gros titres. Mais dans ce projet, elle ne montre pas une marque — elle montre elle-même : audacieuse, artistique, prête à briser les codes. Le styliste Ib Kamara a créé l’image d’une femme qui ne cherche pas l’approbation. Elle impose une ambiance.

À l’intérieur du shooting : des looks éblouissants signés Versace, David Koma, Bottega Veneta, des bijoux Swarovski, des sandales sorties d’un rêve futuriste, et des poses qui crient : « Je suis là. Regarde-moi non comme une entreprise, mais comme une œuvre d’art. »

Dans son interview pour Dazed, Kylie parle de sa marque KHY et de son envie de collaborer avec des créateurs qui l’ont réellement inspirée. Parmi eux : Dilara Fındıkoğlu, l’une des stylistes les plus provocantes et puissantes de ces dernières années. Ce n’est pas juste un nom dans une collection — c’est un hommage à la créativité et à la force intérieure des femmes qui tracent leur propre voie.

Ce shooting n’est pas qu’une jolie couverture. C’est un rappel à chacune de nous : n’aie pas peur d’être inattendue. Mélange le glamour et le chaos. La douceur et la rébellion. Tu n’as pas besoin d’être “confortable” pour être stylée. Le glamour n’est plus figé. Il vit, il respire, il se renverse — et il reste éblouissant.