SKIMS prend désormais soin de ton visage : le nouveau Face Wrap est le beauty gadget qu’on attendait toutes

Dormir, c’est le nouveau sport. Et maintenant, tu peux sculpter ton visage… en dormant. Oui, tu as bien lu. SKIMS, la marque qui a déjà révolutionné nos dressings avec ses vêtements sculptants, débarque enfin dans le monde de la beauté. Le lancement du Seamless Sculpt Face Wrap a eu lieu hier — et internet s’est littéralement enflammé.

Dormir, c’est le nouveau sport. Et maintenant, tu peux sculpter ton visage… en dormant. Oui, tu as bien lu. SKIMS, la marque qui a déjà révolutionné nos dressings avec ses vêtements sculptants, débarque enfin dans le monde de la beauté. Le lancement du Seamless Sculpt Face Wrap a eu lieu hier — et internet s’est littéralement enflammé.

Ce n’est ni un masque, ni un bandeau, ni un soin compressif classique. C’est un face wrap, conçu à partir du même tissu révolutionnaire que les bodys iconiques de SKIMS. Il s’enroule autour de la mâchoire, redessine l’ovale du visage et se fixe avec des bandes Velcro sur le haut de la tête et derrière la nuque. Et attention : le tissu contient désormais du fil de collagène, pour un soutien renforcé des joues et de la mâchoire.

SKIMS présente cette innovation comme un accessoire à compression ciblée, destiné à remodeler les traits pendant le sommeil. Ce n’est pas de la magie, c’est de la science textile et de la biomécanique. Et niveau confort ? Zéro couture, zéro irritation, juste une pression douce là où il faut.

Le Face Wrap est proposé en deux teintes neutres : clay (beige chaud) et cocoa (brun profond), fidèles à la palette signature de SKIMS, flatteuse pour toutes les carnations. Prix : 48 dollars — bien plus abordable que la plupart des appareils de lifting ou des traitements en institut.

Si tu connais déjà l’effet incroyable du shapewear SKIMS sur le corps, imagine maintenant le même niveau de maintien… sur ton visage. C’est une approche douce de la beauté : pas d’aiguilles, juste de l’intelligence, du maintien et beaucoup de soin. Et puis entre nous : on dirait une héroïne de série sci-fi. Et ça fait du bien.