Tu n’es pas obligée d’aimer chaque minute de ta vie conjugale. Et oui — tu as parfaitement le droit d’être fatiguée. Par le quotidien. Par le silence. Par le fait de ne pas être entendue.
Tu n’es pas obligée d’aimer chaque minute de ta vie conjugale. Et oui — tu as parfaitement le droit d’être fatiguée. Par le quotidien. Par le silence. Par le fait de ne pas être entendue. La fatigue du mariage n’est pas un caprice, mais une réaction sincère à une surcharge émotionnelle et physique constante. Si tu ressens cela — tu n’es pas seule. Voici quelques raisons possibles à cet épuisement, et de petits repères pour commencer à reprendre ta place.
T’est-il déjà arrivé de penser : « Où suis-je dans tout ça ? Qu’est-ce que je veux, pas en tant qu’épouse ou mère, mais en tant que femme ? » La fatigue s’installe quand tu n’es plus l’héroïne de ta propre histoire.
Essaie : retrouver tes petits rituels préférés. Un café avec un bon livre, un week-end seule, une soirée sans obligations.
Tout ce qu’on appelle “intimité” ne rapproche pas toujours. Si le sexe est devenu une routine ou une gêne — ton ressenti est valable.
Essaie : arrêter de “faire semblant” pour éviter les conflits. Le sexe doit être un échange, pas une corvée.
Même si les choses s’arrangent en surface, tu sais : ce n’est pas vraiment réglé. Ça reste en toi. Et c’est là que la fatigue s’installe.
Essaie : ne pas tout garder. Parle, même si ce n’est pas parfait. Mais parle vrai.
Tu es prête à être là pour lui… mais lui, l’est-il pour toi ? Si tu ne reçois aucun soutien, tu t’éteins à l’intérieur. Personne ne peut être forte en permanence — même si tu en as l’habitude.
Essaie : dire simplement : « C’est dur pour moi. Je n’y arrive pas seule. »
Métro. Boulot. Maison. Dodo. L’amour ne meurt pas forcément par trahison, mais souvent par ennui.
Essaie : ne pas attendre qu’il apporte la magie. Apporte-la toi-même — avec un geste spontané, une sortie surprise.
L’amour change, c’est vrai. Mais s’il ne reste plus que le devoir, il est temps de t’arrêter un instant et de regarder en toi.
Essaie : te demander honnêtement : ai-je encore envie de me battre pour ça ? La réponse pourrait te surprendre — et c’est OK.
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