Parfois, il vous envoie des messages gentils. Parfois, il disparaît. Parfois vous êtes ensemble, mais le plus souvent, vous êtes seule, avec l’espoir que ça devienne sérieux bientôt.
Parfois, il vous envoie des messages gentils. Parfois, il disparaît. Parfois vous êtes ensemble, mais le plus souvent, vous êtes seule, avec l’espoir que ça devienne sérieux bientôt. Et vous êtes censés être un couple, mais sans paroles, sans projets, sans garanties. Bienvenue dans le monde des « situationships », de l’« orbiting » et d’autres formes de « quasi-relations » — où la romance est au minimum et l’anxiété au maximum.
De l’extérieur — une illusion de proximité. À l’intérieur — une incertitude chronique : « Est-ce qu’il m’aime ? », « Pourquoi tout est si compliqué ? », « Suis-je trop exigeante ? ». La réponse est simple : vous êtes dans une relation qui n’existe pas vraiment.
Soyons honnêtes. Voici 7 signes qu’il n’a jamais vraiment prévu d’être avec vous. Et qu’il est temps d’arrêter de sauver ce « presque » et de vous choisir vous-même.
Dès que vous parlez de « demain », il change de sujet, fait une blague ou répond vaguement « on verra ». « Je n’aime pas planifier », « je vis au jour le jour », « pourquoi gâcher tout ça avec des discussions ? » — du classique. Mais en réalité, cela signifie qu’il ne vous voit pas dans son futur. Et honnêtement, il ne veut même pas regarder là où vous êtes tous les deux.
Il était là. Puis plus. Et il réapparaît comme si de rien n’était. Ça vous embrouille : il ne vous a pas quittée, donc tout va bien ? Non. C’est de l’« orbiting » : il vous garde à portée sans s’approcher ni vous lâcher. Pour que vous soyez toujours là, au cas où il se sentirait seul.
Il ne vous appelle pas quand ça ne va pas. Ne s’intéresse pas à votre journée. Mais il écrit à 00h17 : « Tu ne dors pas ? » quand il s’ennuie ou se sent seul. Il est là quand il en a besoin. Et quand vous avez besoin, il n’est pas là. Ce ne sont pas des relations. C’est une commodité où vous êtes une option.
Se promener ? Il est occupé. Regarder un film ? Impossible. Mais « tu fais quoi ce soir ? » — là, il est toujours partant. Des rencontres sans sens, sans conversation, sans soutien. Juste de la passion — et seulement si ça ne dérange pas ses plans. Si vous vous sentez comme un divertissement temporaire, c’est que c’est le cas.
Il dit : « Tu es spéciale », « Avec toi c’est différent », « Je n’ai jamais fait confiance à quelqu’un comme ça ». Ça sonne comme une déclaration, mais en réalité, c’est du vent. Parce qu’il n’y a aucune action derrière. Ni soutien. Ni initiative. Ni gestes réels. Les mots sont un substitut bon marché de la vraie intimité s’ils ne sont pas accompagnés d’actes.
« Pourquoi étiqueter ? », « Pourquoi se presser ? », « On va bien comme ça » — vous avez entendu ça. Mais en réalité, il trouve ça pratique que vous ne sachiez pas qui vous êtes pour lui. Tant qu’il n’y a pas de nom, il n’y a pas d’engagements. Il reçoit attention, chaleur, soutien — sans rien donner en retour. Ce n’est pas la liberté. C’est un jeu à sens unique.
Vous analysez chacune de ses réactions. Vous attendez ses messages. Vous vous demandez si vous n’étiez pas « trop insistante ». Dans une relation saine, il y a un marqueur : vous vous sentez calme. Dans une « quasi-relation », c’est tout le contraire. Tension constante, suppositions, attentes. Ce n’est pas de l’amour. C’est un attachement anxieux.
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